Haleine des grands monts brouillards de feux latents qui noircissent l’argile.
Les solfèges sont morts, les collines défaites.
Rares arbres perdus avec par en dessous, de grands draps blancs souillés qui dépassent du sable et puis s’évanouissent dans une mer sans fond.
Avec devant des feux qui chérissent nos blés, que bercent leurs fumées, qui emplissent nos plaines.
Désert noyé dans sa gloire.
Viva Blévis, artiste peintre